Un groupe fort sympathique de musiciens qui se produisent régulièrement dans des manifestations locales amis
aussi qui ont eu l'occasion de faire parler d'eux à l'international, j'y reveindrai plus tard. Ici au Vicel pour la saint Jean en juin 2009
L'église actuelle a été reconstruite après la seconde guerre. Victime de bombardements en
1944, elle a été presque entièrement détruite, seul le clocher à bâtière a pu être conservé.
Le christ de l'ancienne perque, épargné dans les bombardements, a repris sa place dans l'arcade centrale.
Voûte ancienne vers le clocher
L'église vers 1903
Une magnifique statue polychrome représentant sainte Anne
Le clocher du XIème ou XIIème siècle a l'aspect d'un donjon. Le choeur date du XVIIème siècle et la chapelle
du Rosaire de 1674. Cette chapelle a été voûtée en 1682. Les travaux ont été faits de 1668 à 1704 sous le pastorat de Jean Touzard curé de Morsalines. En 1740, des travaux de restauration ont été
effectués : une partie du mobilier, des chapelles latérales ainsi qu'une chapelle pour la sacristie. Ces travaux ont été entrepris sous le pastorat du curé de Morsalines, Nicolas Massieu.
La commune et l'association de sauvegarde de l'église de Morsalines ont entrepris des travaux de restauration dans la chapelle du Rosaire et Sainte Barbe, dans le choeur de la nef.
Un mobilier de valeur - un beau rétable comportant une " monstrance " destinée à poser le Saint-Sacrement - se trouve dans le choeur. Sur les côtés, se trouvent deux statues, une de Saint Blaise
et une de Saint Maur, en terre cuite de Valognes. A noter également les autels des deux chapelles, où sur l'un d'eux se trouve une statue de Sainte Barbe du XVème siècle de pierre
polychrome.
L'église Notre-Dame renferme des oeuvres intéressantes en particulier un beau rétable exécuté vers 1740 par
un artiste de Carquebut, Jean Le Comte pour une somme de 450 livres.
Nous l'avons vu, dans l'église de Quettehou, il existe de nombreux graffitti
marins. Autour de l'église de Morsalines on en découvre plusieurs. Depuis l'église il existe une superbe vue sur la Baie de Morsalines, Anse du
Cul de Loup.
Brunehilde sculpte la stéatite pour son plaisir quand l'espace "mère de famille" lui accorde du temps. Pour mieux connaître son travail consultez son blog, voir dans mes liens. Brunehilde
Grenneville aujourd'hui rattachée à la commune de Crasville depuis 1817, formait une paroisse dont
l'abbé Lacour fut le dernier curé et laissa à sa mort son bien pour l'entretien de l'église et pour qu'un curé continuât à résider à Grenneville.
L'église placée sous le vocable de Notre-Dame est très ancienne, fut reconstruite au Xv ou XVIème siècle.
L'église sainte-Colombe, de Crasville est très ancienne. En 1154, Richard de Bohon, évêque des Coutances, en
confirma le patronnage à l'abbaye de Montebourg.
Le clocher qui avait été reconstruit en 1874, fut à nouveau rebâti en 1920
Composée d'un choeur et d'une nef sans transept, elle date dans sa forme actuelle des XVII et
XVIII èmes siècles
La valeur patrimoniale de cette église ne vaut pas par son architecture, mais par son riche mobilier,
ensemble remarquable donné, par le curé de la paroisse l'abbé Georges Le Galois, et exécuté vers 1770 par Guillaume Godefroy, menuisier sculpteur demeurant à Morsalines.
Migration Vendredi, reprenant une de mes promenades
favorites, menant du Pont de Saire à Jonville (Commune de Réville), j'ai fait une rencontre qui m'a étonnée par l'importance du nombre des volatils. Il est connu que la pointe de Jonville
est un lieu apprécié par les oiseaux migrateurs dont les oies bernaches.
Un bruit inhabituel a attiré mon attention, me retournant j'ai vu un vol d'oiseaux se rapprocher et se diriger
vers la pointe. Au passage d'autres qui étaient posés, se sont joints à eux pour aller se poser quelques centaines de mètres plus loin et s'ébrouer dans quelques centimètres d'eau,
nous étions à marée descendante.
Pendant ma promenade j'ai été accompagné par un concert de cris, parfois synchrones.
N'étant pas un spécialiste des oiseaux, et gêné par l'effet de contre-jour, je pose la question, s'agit-il des
oies bernaches ? Une rencontre sur le quai de Barfleur
d'observateurs d'oiseaux confirme ce que je pensais, il s'agit bien de Bernaches Cravant
(Les deux clochers de Beaumont et de Gouberville ont des ressemblances. )
Texte= document du CPIE et de la Communauté de Communes sur le sentier de découverte
En 1834, trois feux destinés à la
navigation sont construits dans notre Région : - le premier à l'extrémité du fort de la Hougue ;
- le second dans l'enceinte de la Redoute de la Pointe de Saire (Réville) ;
Le feu de Jonville, à la Pointe de Saire (Réville)
" Le fanal de la redoute de Reville vu par le phare de Barfleur donne une
direction dans l'Ouest de laquelle on devra éviter de prolonger les bordées quand ou louvoiera de nuit pour s'approcher de la rade de la Hougue ", instructions nautiques
1836.
*premier septembre 1836 : feu fixe blanc sur une tourelle carrée en maçonnerie
et corps de logis,
1935 : feu blanc à
occultations (2+1) toutes les 12 secondes et électrification.
- le troisième sur les hauteurs
de Morsalines. Son emplacement est dans un champ situé de l'autre côté de la route de Beauvais par rapport au phare actuel.
Actuellement, l'emplacement est toujours visible il y a des restes de la construction, mais le champ est une propriété privée.
Ce phare fut détruit en 1944 par les Allemands car il servait de repère pour l'aviation alliée. La reconstruction n'eut pas lieu au même endroit. Il fut reconstruit plus en avant de la colline
dans une petite propriété.
Découverte du Val de saire (Manche), photos,actualité, évènements, communes, activités. Partagez avec moi le plaisir de decouvrir et apprécier ce coin de la MANCHE nord-est.